EN intervention à Lyon
A la demande de l'Amicale du Nid, la Fondation Scelles est intervenue le 10 juin à la préfecture de Lyon pour une journée organisée sous l'égide de la Délégation aux Droits des Femmes et à l'Egalité du Rhône sur le thème : « Achat d'un acte sexuel : Décrypter, Prévenir, Responsabiliser les auteurs ». Devant plus d'une centaine de personnes, nous avons pu revenir sur la mise en œuvre des aspects répressifs de la mise en œuvre de la loi Olivier-Coutelle et notamment sur la lutte contre la demande. Après plus de 8 ans de pénalisation des « clients » , qu'en est-il aujourd'hui de la situation en France ?
Comment fonctionne le dispositif entre le volet répressif (verbalisation, courrier au domicile, amende, convocation au tribunal, inscription au casier judiciaire) et le volet pédagogique des stages d'alternatives aux poursuites judiciaires. Un atout incontournable : la parole et les témoignages des survivantes de la prostitution.
En formation à Paris
À l'approche des Jeux olympiques et paralympiques, de nombreuses organisations ont été mises en alerte quant à l'attraction qu'ils représentaient pour les réseaux de traîtres. À cette occasion, la mission interministérielle pour la protection de femmes contre les violences set la lutte contre la traite des êtres humains, en collaboration avec l'ENM, ont organisé une formation à destination des acteurs policiers et judiciaire ainsi que des associations. Cette formation avait deux objectifs principaux : appréhender les situations au plus juste et accompagner les victimes pour une coopération judiciaire efficace et permettre une réponse pénale adaptée à l'encontre des auteurs, en matière de peines prononcées, y compris de confiscations.
La Fondation était donc présente à cette journée de formation, car une partie y était dédiée à la traite des êtres humains à des fins d'exploitation sexuelle. Ce panel fut composé de Mme Pommier, référente juridique, porte-parole de la Mission d'intervention et de sensibilisation contre la traite des êtres humains et ancienne victime ; Mme DREESEN, cheffe de la Brigade de répression du proxénétisme et Mme RENNESSON, substitut au sein de la section J1 du parquet de Paris (JIRS – criminalité organisée).
Global Report 4
Global Report 3
Global Report 2